
Les membres de notre troupe médiévale.
Voici les membres de la troupe médiévale Gamela Nostra ! Venez découvrir leur histoire, et la raison de leur présence dans cette compagnie pour le moins hétéroclite. Ils ne sont pas beaux, ils ronflent et ils puent, mais ils sont gentils. Enfin, il paraît…
Pour en savoir plus sur le contexte historique dans lequel évolue la Compagnie, c’est par ici !
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Robin, dit "le Bouc" d'Auvergne, Capitaine
Robin le Bouc d’Auvergne est entré dans la troupe en se présentant comme le fils cadet déshérité du Comte d’Auvergne. Bien entendu, personne ne le croit.
Fils cadet du Comte Jean Ier d’Auvergne, et frère de Jean II d’Auvergne, Robin ambitionne depuis toujours de prendre la tête du comté. Cependant, le droit d’aînesse l’impose, et anéantit ses prétentions.
A cette époque, l’Auvergne était divisée en trois partie : la plus grosse, le Duché d’Auvergne, était aux mains des Bourbons, Ducs d’Auvergne ; la seconde, le Comté, était dominée par la lignée des Comtes d’Auvergne ; et enfin, le Dauphiné d’Auvergne, dirigé par Béraud II, Dauphin d’Auvergne.
Lorsque Béraud II est envoyé en otage en Angleterre, Jean II profite de la situation pour tenter de se saisir de la haute Auvergne. Robin y voit un signe : il rallie des Tuchins, ces paysans qui forment des bandes armées pour lutter contre les incursions anglaises, mais aussi contre les mercenaires et routiers qui pillent l’Auvergne, et contre la noblesse qui ne fait rien pour les protéger, et tente d’assiéger le château de son frère à Vic-le-Comte pour s’emparer du Compté.
Cependant, il est défait par la garnison défensive, plus expérimentée que sa bande de paysans levés à la va-vite, et doit s’exiler au Sud, vers Nismes, par craintes de représailles. C’est là qu’il fait la rencontre de la compagnie de mercenaire Gamela Nostra, dont il prendra la tête, rêvant de sa revanche contre son frère Jean II. Il y rencontre également Dame Louise de Saint-Jean, et lui vouera un amour inconditionnel. Saura-t-elle le raisonner et lui faire abandonner son projet de conquête de l’Auvergne ? ou le suivra-t-elle dans sa folle épopée ?
Sa félonie et sa barbe en pointe lui ont valu le surnom de « Bouc d’Auvergne », qu’il arbore fièrement sur son blason. A moins que ce ne soit lié à l’odeur de son gambison ? Quoi qu’il en soit, il est dit que plus sa barbe est fournie, meilleur il est sur le champ de bataille !
Dame Louise de Saint-Jean, Chroniqueuse
Dame Louise est issue d’une haute lignée. D’un naturel discret, elle est curieuse et aime s’instruire. Elle connaît les onguents et les plantes qui guérissent, sait lire et écrire, et s’adonne à la couture. Récemment, elle a entamé une initiation à l’épée.
D’un naturel curieux, Dame Louise se lassa de découvrir le monde au travers des romans de geste et d’amour courtois, ou « fin amor ». Elle décida d’écrire elle-même les pages de l’histoire, de son histoire. Elle prit alors la résolution de suivre la compagnie Gamela Nostra, de passage dans sa contrée, afin d’en rédiger les chroniques.
Ainsi, elle parcourt les terres des Pays d’Oc, bravant les épreuves, et vivant la vie d’aventure qu’elle a toujours rêvé, relatant les récits des braves mercenaires qui lui servent à présent d’escorte.
Tombée éperdument amoureuse de Robin durant leurs périgrination, elle a décidé de le suivre sur les champs de batailles, et de ne point rentrer en son domaine sans lui. Lorsque le Capitaine part au combat, il porte à sa ceinture une faveur qu’elle lui offrit, gage de leur amour.


Fred de Nismes, dit "la Grinche", Fondateur de la troupe
La Grinche aime bien les combats, l’ordre, la stratégie et arbitrer. Il laisserait tout tomber pour du saucisson au roquefort, accompagné d’un bon vin.
Fondateur de la Compagnie, certains l’appellent encore « Chef », bien qu’il ait quitté ce poste en râlant contre le désordre et les ronflements, pour ouvrir une taverne ambulante.
Par ailleurs, il continue d’arbitrer des combats. De taverne.
Jean de Ponthieu, dit "Olifant", Porte-Etendard
Juillet 1361, Abbeville, capitale du Comté de Ponthieu, redevient anglaise suite au traité de Brétigny. Mais le peuple se révolte contre ses nouveaux maîtres. Au coeur des combats, les paysans se voient forcés de combattre, que ce soit pour leurs terres, ou aux côtés de l’envahisseur.
Confronté à une patrouille anglaise alors qu’il tentait de bouter le feu à l’une des casernes de la cité, Jean, jeune paysan, aurait payé son audace de sa vie, si ce n’était pour un jeune homme qui passait par là. Ne voyant de la situation qu’un autre paysan harcelé par l’envahisseur, le jeune bourgeois n’écouta que son courage et lança une caillasse sur l’un des gardes, attirant sur lui à la fois l’attention et l’ire de l’anglais. Mais ce courage ayant ses limites dictées par l’instinct de survie, le providentiel jeune homme prit ses jambes à son cou, poursuivi par les deux soldats fumants de rage.
Jean, transi par la peur et la surprise, voyant ses deux bourreaux cavaler après son sauveur, ne vit qu’une seule solution – prendre la fille de l’air. De ruelles en recoins, de places en chemins, il fuit comme si la mort elle-même était après lui, jusqu’à ce qu’au détour d’une rue, l’un des deux hommes d’armes qui l’avaient attrapé ne surgisse devant lui, rouge de colère. Dans la précipitation, et la confusion, Jean poignarda le soldat à la gorge. D’incendiaire en meurtrier, il lui était impossible de rester, et s’enfuit en compagnie d’un groupe de marchands en partance pour l’Auvergne. Il devint l’apprenti d’un cirier, apprenant pendant plus d’un an à couler des bougies, jusqu’à ce que les affres de la guerre ne le rattrape et qu’une bande d’irréguliers anglais ne massacre la caravane de marchands.
Dernier rescapé, il fut sauvé par l’intervention d’une troupe de mercenaires du nom de Gamela Nostra. Jean jura alors fidélité à leur capitaine, « le Bouc », qui lui confia la charge de porte étendard de la troupe. Un rôle honorable, puisqu’il a la responsabilité de nos couleurs.
Lassé de l’entendre beugler à longueur de journée, Arthur de Provence lui intima de trouver une occupation. C’est alors que Jean trouva un Olifant, et se mit à souffler dedans. Depuis, il est encore plus bruyant qu’avant, et pas plus actif !


Arthur de Provence, dit "Poney", Sergent
Originaire d’Occitanie, avec une forte expérience du combat, Arthur de Provence est un homme d’armes endurci. Il a vécu toute sa jeunesse en Provence, où il est entré au service du Comte Robert d’Anjou pour y être formé et entraîné au maniement des armes. D’abord écuyer, il devint Chevalier pour Robert d’Anjou et servit le Roy de France durant la Guerre face à l’envahisseur Anglais.
Connu pour être d’une détermination inflexible, il décida de lui-même de quitter son seigneur après avoir entendu que les anglais avait décimé la quasi totalité des armées du Roy de France à la bataille de Crécy. Il rejoignit un petit contingent d’hommes et de survivants pour leur apporter son aide, et mobilisa une force militaire et résistance face aux anglois et autres bandits de grands chemins, alors que la grande peste noire faisait des ravages.
C’est dans ce contexte de guerre qu’il fait la rencontre de Mishka, dit »l’Ours Sanguinaire ». Alors que ce dernier avait été pris à parti par des anglois qui voulait lui ravir son armure atypique, Arthur lui vint en aide, ce qui signa le début d’une solide amitié entre les deux hommes.
Puis il fit la rencontre de Robin d’Auvergne dit »Le Bouc », qui avait prit la tête d’une compagnie de mercenaire du nom de Gamela Nostra. Il décida de les rejoindre afin de leur prêter main forte dans leur lutte face aux troupes irrégulières anglaises.
Soldat d’expérience, il est le Sergent d’Armes du camp, et seconde le Capitaine de la compagnie sur toutes les formations de troupes, et les formations stratégiques de taverne.
Mishka Suberaï, "l'Ours Sanguinaire", Combattant
Originaire des steppes de Mongolie, Mishka fait partie de la Horde d’Or. Envoyé par le grand Khan Özbeg pour négocier avec les génois, il a été attiré par l’odeur du sang en provenance de France, où la Guerre de Cent Ans bat son plein.
Son coup de fourchette est aussi légendaire que son coup de sabre, mais il cache bien d’autres talents.
Habile de ses doigts, il est le menuisier attitré de la compagnie. Cette dextérité lui a également valu une certaine réputation auprès des dames…


Dame Yvonne, dite "la Sainte Louche", Cuisinière
Cuisinière hors paire, dame Yvonne a le coeur sur la main. C’est un peu la mère de la compagnie, et puisqu’elle fait la pitance, personne n’ose la contredire, pas même le Capitaine.
Armée de la Sainte Poêle, elle défend becs et ongles la marmite et les gamelles, et assure aux valeureux gens d’armes de la compagnie de fabuleux festins. Elle tire sa sagesse et ses connaissances des enseignements et des écrits de Sainte Hildegarde de Bingen, dont on raconte qu’elle serait son ancêtre directe.
Dame Yvonne, « la Sainte Louche », doit son surnom à son empathie naturelle et sa grande miséricorde envers les fous et toqués, qu’elle a soigné durant une grande partie de sa vie. Peut-être est-ce pour se rappeler cette sensation de venir en aide aux simples d’esprits qu’elle a décidé de rejoindre la compagnie Gamela Nostra ?
Elle est l’épousée de Maistre Albert l’Alchimiste.
Maistre Albert, dit "l'Alchimiste", Grand Argentier
Il partage la vie de dame Yvonne depuis bien des lunes. Fin archer, il est habile de ses mains et très cultivé. Il connait moultes histoires de nos contrées et d’ailleurs. Il connaît l’art de manier les chiffres, sait écrire et est extrêmement rusé. Il aime le bon vin, aussi.
C’est grâce à sa technique ancestrale de la « sublimation du whisky » qu’il acquit le titre de Grand Alchimiste de la troupe. En effet, nul homme n’est capable de faire s’évaporer le breuvage à telle allure !
Mais ce qu’il préfère par dessus tout, en tant qu’Argentier de la compagnie, titre qu’il occupe puisqu’il est le seul à vraiment savoir compter, c’est de compter l’argent amassé par la troupe. Quand il y en a !


Olivier, dit "le Rebouteux", Apothicaire
Cet homme dispose d’étranges pouvoirs : il se dit « magnétiseur ». Diablerie, ou don de Dieu ? Devrions nous le brûler, ou tirer bénéfice de cette faculté à guérir ?
Outre ce pouvoir, le Rebouteux est également notre apothicaire. Il connaît les propriétés des plantes médicinales, mais également des toxiques.
Fin stratège, il excelle dans tous les jeux de plateaux dont nous disposons. S’il lui arrive de prendre part aux combats, il est avant tout un homme de réflexion à l’esprit vif et l’humour acéré.
Dame Solstine


Tancrède de Riso, dit "Baron de Calabre", Chevalier
Issue d’une famille de la Noblesse sicilienne exilée en Calabre à la suite de Charles 1er d’Anjou, Tancrède de Riso de Botricello a été élevé dans la fierté de son nom et de sa lignée, mais il est également un chevalier intrépide et courageux.
Lorsque la reine Jeanne de Naples est forcée de quitter Naples en 1348, Tancrède choisi de la suivre dans son exil en France. Mais leur situation est précaire. Naples est tombée entre les mains de Louis le Grand de Hongrie, qui a annexé la ville et chassé les partisans de Jeanne.
Tancrède est déterminé à reprendre Naples, sa famille a déjà été exilée de Sicile par Pierre III d’Aragon ! hors de question pour lui que l’histoire se reproduise.
Malheureusement la reine refuse de lui fournir le soutient nécessaire pour accomplir cette mission, prétextant qu’il ne fasse qu’aggraver leur situation. Certains disent qu’elle craint en réalité pour la vie du chevalier.
Furieux et ne pouvant pas rester les bras croisés pendant que Naples est entre les mains de l’ennemi, Tancrède décide de quitter le service de la reine et de chercher de l’aide ailleurs. C’est ainsi qu’il rencontre la troupe de mercenaires appelée Gamela Nostra menée par un courageux Capitaine qui fut lui aussi contraint de quitter ses terres pour d’obscures raisons. C’est sous le nom de « Calabrais » que ses amis routiers de la Gamela Nostra l’appellent, mais Tancrède se fait connaitre au combat sous le nom de « Baron de Calabre ».
Lorsqu’il ne porte pas l’armure Tancrède adore compter l’histoire des temps jadis dont il est féru et initier de jeunes novices à l’art de l’épée.
Colin de Fons, dit "Sonne-Creux", Chevalier
Colin de Fons est un chevalier très pauvre, qui est entré dans la troupe pour s’enrichir. Visiblement, ce n’était pas une très bonne idée car il est toujours aussi fauché, si ce n’est plus. Il écume les tournois à la recherche de gloire et de richesse.
Sacré bon combattant, fidèle au poste, il aime les duels, manger, boire, la bagarre, les combats, la bouffe, et se battre. Totalement dans l’esprit de la compagnie.
Il a récemment quitté le Royaume de France pour vendre ses services auprès des Corks Blademasters, une équipe de duellistes Irlandais. Cela lui permet de participer à de nombreux tournois, dont il sort régulièrement vainqueur.
Son arme de prédilection est l’épée à deux mains, mais il excelle également à l’épée de côté avec ou sans dague, et au sabre.


Guillaume "Main-Noire", Forgeron
Guillaume a quitté la protection des murailles d’Arles la Blanche dans l’espoir de faire fortune sur les routes. En effet, il a ouïe dire que les compagnies de mercenaires paient cher les artisans capables de réparer, fabriquer et entretenir leur matériel militaire, et il ne compte pas laisser filer une telle occasion de faire valoir son art.
Malheureusement pour lui, c’est la route de la Gamela Nostra qu’il croise en premier. Ces valeureux mercenaires, malgré leurs glorieux exploits, sont en permanence sans le sous, si bien qu’ils le rémunèrent en liquide. Et quand je parle de liquide, c’est réellement du liquide : hypocras, bière, hydromel, vin ou liqueur…
Guillaume ne s’arrête jamais de travailler, a tel point que la troupe doit parfois le forcer à s’arrêter pour aller manger. De fait, il a toujours les mains couvertes de suie, ce qui lui a valu son surnom de « Main-Noire ».
Stéphane Di Maggio, Maître d'arme et Diplomate
Sire Stéphane Di Maggio et de Grenay est un condottiere Italien qui a beaucoup voyagé. Cadet de la famille, il quitta ses origines Napolitaines pour s’installer en Dauphiné, où il possède un hameau octroyé pour services rendus auprès du gouverneur local.
Il devient un condottière reconnu, capable de réunir et de fédérer une grande troupe de guerre. Il y apprend également le maniement des armes, telles que l’épée longue, la hache noble, la masse, ou encore la dague, ainsi que l’histoire de son nouveau pays d’accueil.
Ses affaires l’emmènent ensuite en pays Arlésien, où il aura la charge de faire fructifier son nouveau domaine. Il rejoint alors la Gamella Nostra en tant que maître d’armes.
Vous le savez certainement, de Diplomate à Chef de guerre il n’y a qu’un pas. Notre Sire Di Maggio, lui, l’a bien compris. Celui-ci vous présentera les subtilités de la diplomatie : la communication officielle, mais également les actes de l’ombre, et ma foi, à coup de Masse s’il le faut !


Luna, apprentie Apothicaire
Cette jeune Arlésienne était apprentie apothicaire, lorsqu’elle dut quitter sa ville natale suite au siège mené par le comte d’Anjou et le Duc du Guesclin contre Arles. Celui-ci voulait rattacher la Provence et le Comtat Venaissain, alors possession du comte de Toulouse, au Royaume de France, domaine de son frère le roi Charles V.
Bien qu’originaire de Provence, et donc sujette de la reine Jeanne de Naples, Luna a toujours rêvé de prendre part à la défense du Royaume de France contre l’envahisseur anglais. Le siège d’Arles est donc, pour elle, l’occasion rêvée pour échapper à son quotidien.
Elle dérobe alors un arc et des flèches à la garnison de la ville, emporte autant de plantes qu’elle le peut, et quitte les lieux, en quête de justice et d’aventure. Elle croise alors la route de la compagnie Gamela Nostra, qui après avoir répondu à l’appel du Duc du Guesclin, s’en retournait en Languedoc pour affronter les armées du Prince Noir, Edouard de Woodstock.
Désireuse d’en découdre et de se rendre utile, Luna s’entraîne au maniement de l’arc auprès de William, notre instructeur d’arc, bien que celui-ci est un anglais acquis à notre cause, et à l’art de l’herboristerie avec Olivier le Rebouteux.
William dit "le Godon", Archer
William est un archer anglais qui a servi sous les ordres du Prince de Galles, Edouard de Woodstock. Originaire des côtes d’Aquitaine, territoire sous domination anglaise, il décide de rompre les rangs afin de rejoindre une compagnie de mercenaire, attiré par les promesses de richesses et de liberté qu’elle lui offre.
Hélas, lorsqu’il se rend compte que la compagnie qui l’enrôle est complètement fauchée, il est déjà considéré comme un déserteur chez les anglais et comme un ennemi par les français… il ne lui reste donc pas d’autre choix que d’endurer la compagnie plus que douteuse de cette bande de bras cassés qu’est la Gamela Nostra.


Adeline, Artisane du Cuir
Dame Aliénor de Caissargues, dite "la Linotte", Tisserande

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